Où nos héros explorent un complexe entier sans un seul combat, lancent des cailloux, déchiffrent l'Orc et trouvent une carte.
Attiré par l'attrait d'une puissante relique mystérieuse, Anders pousse ses deux amis Elfe à suivre la carte sommaire indiquant la cascade où sont censés se cacher les nains.
Nos héros sont au début peu surs de savoir s'ils ont dormis des centaines d'années et sont donc dans le futur, ou si leur vision n'était qu'un rêve et qu'ils sont toujours dans le présent. Ils ne rencontrent malheureusement personne en chemin qui pourrait les aider à en savoir plus à ce sujet.
Ils trouvent finalement la cascade légérement en contrebase d'un pont de corde branlant. Ils descendent rapidement jusqu'en bas et trouvent un trou dans le flanc de la montagne qui laisse présager que l'intérieur est creux. Ils y lancent un caillou pour estimer la taille de la pièce, et celle-ci semble assez grande.
La seule entrée semble etre par là où s'écoule la cascade. Ethiriel décide d'accrocher une corde à l'un des anneaux rouillés qui dépasse du mur, mais il estime mal la longueur de sa corde et son tir parfait ne leur ai d'aucune aide. Anders de son coté escalade le mur et y accroche sa corde pour que les autres puisse grimper.
Il n'attends pas qu'ils n'arrivent avant de continuer son chemin, torche à la main, au travers du torrent gelé. Confronté à une bifurcation, il va directement à droite, pour essayer de tomber sur la pièce où il avait lancé sa pierre.
Pendant ce temps, Ethiriel parvient à se hisser, suivi rapidement de Lagos, mais alors qu'ils tentent de remonter le torrent, Lagos perds pied et est presque emporté en bas de la cascade si ce n'avait été pour les reflexes de son compatriote Elfe qui le rattrape au dernier moment. Les deux elfes remontent ensuite correctement le cours de l'eau et Lagos tente d'abaisser une vieille herse rouillée derrière eux, mais celle-ci lui reste dans la main.
Confrontés au même embranchement, les deux elfes décident d'aller de l'autre coté qu'Anders, à gauche, mais le groupe se tient au courant de leurs agissement respectifs en criant dans le complexe où ils vont. Anders de son coté ne trouve que deux salles de repos naines, complétement saccagées, aux murs recouverts d'inscriptions. La première couche semble naine et les pauvres nains expriment qu'ils sont coincés ici sans pouvoir sortir à cause du siège des orcs. La deuxième couche est plus crue, et est en Orc, où ils expriment les sévices qu'ils ont fait subir aux Nains. Il parvient néamoins à trouver, perdues derrière un vieux coffre, deux lettres. Ne pouvant les lire, car illétrés, il les apporte aux Elfes, en évitant soigneusement le trou des latrines qui fait trop de bruit à son gout.
Nos deux elfes de leur coté sont confrontés à un tas de pierre surmonté d'un crane d'Homme-Bete en haut d'un escalier. Redoutant un piège, Lagos fait apparaitre un double de lui-même pour aller secouer le crane. Ceci étant sans effet, ils décident d'avancer réellement. Ils finissent par devoir allumer une torche, leur infravision elfique n'étant plus suffisante si profondément dans la grotte. À la lueur de la torche, ils distinguent sur le sol le cadavre d'un Homme-bete, plus récent, le poil roussi par le feu, et une grosse trace d'explosion sur le sol autour de lui. Considérant que la cause de tout ceci ne peut être que la porte au bout du couloir, Lagos décide encore une fois de faire ouvrir celle-ci par son double. Rien ne se produisant, ils décident de donner un coup d'épaule dedans pour passer. Leur force cumulée fait voler la porte en éclat et les deux se retrouvent dans une grande salle de banquet, avec sa cuisine attenante. Ici aussi, il ne reste que des meubles moisis.
Anders fini par les rejoindre alors que les deux Elfes terminent de fouiller la pièce. Il n'y a ici rien d'intéressant à par deux autres lettres, elles aussi écrit dans ce qui semble etre de l'Orc sommaire. Nos héros font une petite pause sur ce qu'il reste de bancs et de tables pour lire les notes à la lueur de leur torche. Ne parvenant pas à faire sens de cette écriture rudimentaire pour le moment, ils continuent leur chemin.
Ils ouvrent la porte suivante sans prendre de précaution, et ce n'est que grâce aux reflexes vigilants d'Anders que celui-ci parvient à esquiver le gros bélier de bois qui était censé percuter le malheureux qui devait ouvrir cette porte. De l'autre coté pourtant, la pièce semble vide. Lagos parvient à détecter un courant d'air dans un mur, et ils trouvent que celui-ci sonne creux. Démontant le piège pour s'en servir eux-même de bélier, ils défoncent le mur, qui donne sur une grotte naturelle.
Là-bas, ils trouvent un autre tas de pierre avec un autre crane d'Homme-Bete dessus. Ce tas de pierre semble venir d'un trou dans le plafond. Ils le dépassent rapidement et sentent une odeur de poisson assez forte, qui semble venir d'un trou dans le sol duquel s'échappe de la fumée. Lagos fait appel une fois de plus à son double, et le fait sauter dans le trou pour voir ce qui se trouve en bas. Celui-ci tombe nez-à-nez avec deux Homme-Betes en embuscade, mais qui ne s'imaginaient pas que quelqu'un saute dans le trou aussi rapidement. Lagos "bis" à juste le temps de tenter de les intimider avant de disparaitre, mais sa tentative, bien qu'impressionante, ne semble pas intimider les Homme-Betes qui partent en retraite rapidement.
De leur coté, les joueurs continuent d'explorer les grottes et découvrent d'un coté l'arrivée de la rivière souterraine, et de l'autre une porte lumineuse qui leur bloque l'accès à ce qui semble être un atelier nain. D'ailleurs, un vieux nain parcheminé est allongé sur le sol, les mains en éventail, et c'est ce symbole qui semble initier la barrière de lumière. Ils tentent vainement de lancer des objets dessus ou de passer au travers, mais sont repoussés avec force. Lagos, une fois de plus, fait appel à son double pour fouiller la pièce de l'autre coté. Il déplacé légérement le cadavre, ce qui a pour effet d'annuler le champ de force et de permettre à tout le monde de rentrer fouiller véritable.
Ils trouvent dedans une nouvelle lettre, cette fois-ci de la main du nain. Celui-ci se nommait Hadrin, le grand Pretre qui en connaissait le plus sur les Pierre du Destin, et lui qui a pris l'initiative d'éparpiller les pierres pour qu'elles ne soient pas ensemble. La localisation de l'une d'entre elles est toujours perdue, mais une était dans les mains des Nains dans la vallée et l'autre dans les mains des Orcs de la Hache Sanglante. Hadrin avait donné la dernière, celle de l'Air, à Yazeran le mage, pour qu'il aille la mettre en lieu sur.
Les écrits Orc que les héros ont trouvés semble indiquer que Torgoch, le chef de guerre de la Hache Sanglante, est en possession d'une des Pierres, mais aussi des livres de Hadrin, qui expliquent comment s'en servir. L'une des cartes qu'ils ont en leur possession semble indiquer le lieu ou se trouve la "piair".
Ressortant du complexe, évitant les Hommes-Betes, et récupérant leurs cordes et torches au passage, nos aventuriers se mettent en route vers cette "piair".